A partir de 9,99 EUR par mois et sans engagement ! France, Belgique, Suisse, Luxembourg… Les déplacements entre pays frontaliers sont fréquents mais pour beaucoup de voyageurs le changement d’air ou les déplacements professionnels s’accompagnent d’une baisse de la connectivité. En cause, la flambée des prix -due au roaming- que les utilisateurs découvrent en recevant leur facture, mais aussi l’insuffisance de Wi-Fi très souvent déplorée par les usagers.
Une étude réalisée par la Commission européenne révèle qu’au cours de leurs déplacements à l’étranger, les Européens réduisent drastiquement leur consommation en data puisque 94% restreignent leurs usages mobiles, 28% d’entre eux vont jusqu’à éteindre leur téléphone portable, tandis que 47% n’utilisent jamais Internet en itinérance. Toujours selon cette étude, ils sont 10% à trouver une solution en se procurant une carte SIM localement.
Il serait aisé de penser que les personnes en voyage d’affaires sont mieux équipées du fait de leur indispensable besoin de connectivité pour travailler. Pourtant, selon une étude Ifop, 28% redoutent de ne pas pouvoir se connecter facilement et 22% d’avoir des difficultés à accéder à leurs documents professionnels.
Opérateur historique pour les frontaliers, Transatel Mobile abolit les frontières avec Data Only, un forfait 100% data spécialement dédié aux habitants des zones frontalières et aux voyageurs fréquents. Ce forfait mutualisé permet de continuer à surfer de l’autre côté de la frontière sans frais supplémentaires liés à l’itinérance et avec une seule et unique carte SIM, grâce à la technologie développée par Transatel, acteur innovant de la French Tech.
Comme le souligne Jacques Bonifay, Président-fondateur de Transatel, ce nouveau forfait répond à la fois à une demande clients et à un constat fait par Cisco VNI Mobile : «Le trafic de la data mobile devrait croître de 57% dans le monde d’ici 2019. Le forfait Data Only suit cette tendance et a été pensé pour permettre aux frontaliers de rester connectés de chaque côté de la frontière sans se soucier de leur facture.»