Les banques traditionnelles s’appuient de plus en plus sur l’IA pour rester dans la course. Un moyen de répondre aux exigences des clients tout en limitant les coûts. Une analyse de Publicis Sapient.
Artificial Intelligence, Deep Learning, Machine Learning
Les banques traditionnelles s’appuient de plus en plus sur l’IA pour rester dans la course. Un moyen de répondre aux exigences des clients tout en limitant les coûts. Une analyse de Publicis Sapient.
Manque de compétences en IA, en particulier en GenAI. Manque, aussi, de soft skills Le nouveau rapport de Cornerstone met en évidence un écart croissant dans la préparation de la main-d’œuvre, alors...
Les assistants de codage basés sur l’IA n'augmentent pas la vitesse de développement… mais augmentent significativement le taux de bogues ! Alors que de nombreux développeurs affirment que les...
Etude prospective inédite sur le marché de l’IA. Sopra Steria introduit une méthodologie novatrice d’analyse structurée autour des usages à travers quatre archétypes.
La GenAI dans le développement n’en est qu’à ses débuts, le mouvement est en train de s’accélérer. Le risque, aujourd’hui, c’est le Shadow GenAI, observe le Cap Gemini Research Institute.
Le paysage tarifaire de la genAI est compliqué. Les surcoûts sont légion. En cause, les interdépendances au sein de la pile technologique. Mais pas seulement. Une situation qui n’est pas sans rappeler l’emballement pour le cloud.
Plus d’un tiers de données réglementées -dont les organisations ont l’obligation légale de protéger- sont partagées avec des applications de genA, ce qui présente pour les entreprises un risque potentiel de violations de données.
Les entreprises adoptent rapidement la genAI, encouragées la valeur apportée par cette technologie transformatrice. Et les budgets suivent, assure Capgemini.