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q-leap accompagne ses clients dans la mesure de l’UX

Les apps sont des vitrines d'une marque. Gare à l'image vite ternie ! q-leap accompagne ses clients dans la mesure de l'expérience utilisateur, la fameuse UX.

q-leap accompagne ses clients dans la mesure de l'UX

q-leap accompagne ses clients dans la mesure de l’UX

par | Oct 11, 2018 | Business, Data Intelligence | 0 commentaires

Les apps sont des vitrines d’une marque. Gare à l’image vite ternie ! q-leap accompagne ses clients dans la mesure de l’expérience utilisateur, la fameuse UX.

«Il est important de tester et de mesurer l’expérience utilisateur -la fameuse UX- afin de s’assurer que vos clients appréhendent votre produit tel que vous l’avez imaginé. Tout le monde peut à un moment donné influencer la User Expérience, que ce soit dans le business, le test ou encore dans le code», assure Sylvain Perez, CEO, q-leap. Est-ce que le chemin d’actions nécessaires pour effectuer une tâche est logique et visible ? Est-ce que l’utilisateur se retrouve coincé à certains moments ? Est-ce que l’utilisateur passe à côté de certaines fonctionnalités mal indiquées ? Certains détails tels qu’un bouton mal placé, une icône difficilement identifiable ou des couleurs trompeuses peuvent créer de la confusion chez les utilisateurs.

Cette activité en est forte croissance chez q-leap, spécialiste luxembourgeois de la qualité logicielle, qui se présente comme un «médiateur» entre les utilisateurs finaux et les concepteurs digitaux. L’entreprise de la rue de Beaumont offre une approche pragmatique, axée sur la mise en œuvre de processus de gestion du cycle de vie des applications permettant aux équipes informatiques de se concentrer sur leur conception.

Une sous-estimation des risques

Tester ? «C’est toujours ‘on verra !’ ou ‘j’ai testé, ça ira !’». En réalité, le testing reste le parent pauvre de l’informatique, regrette Sylvain Perez. Si l’on en croit le dernier World Quality Report de Sogeti, la part des budgets IT consacrée aux tests et à l’assurance qualité est en baisse depuis maintenant deux ans. Alors qu’elle représentait 35% des budgets IT en 2015 et 31% en 2016, elle n’atteignait que 26% en 2017…

En cause, une sous-estimation des risques. Que celui qui n’a jamais dit : «c’est bon, j’suis sûr que ça passe, on testera en prod sinon», lève la main ! La tentation est grande, mais hélas, ça ne finit généralement pas par un happy end. Les quelques moments gagnés ici ne pèseront pas bien lourd face au temps perdu à s’expliquer face aux utilisateurs, à corriger, à tester -avec une énorme minutie cette fois !- et à livrer à nouveau.

Toujours autant de bugs

Tests techniques, tests de performances, tests de sécurité… q-leap s’est fait un nom au Luxembourg, travaillant pour des organisations comme POST Telecom, Luxaviation, Luxair, Jiway, LALUX ou CHNP pour ne citer qu’elles. Pour Sylvain Perez, des bugs il y en a toujours autant. Mais, désormais, les risques sont plus importants du fait des apps proposées aux clients finaux. «Une expérience utilisateur exécrable peut faire mal au porte-monnaie : 60% des utilisateurs ne reviennent plus sur un site internet à la suite d’une mauvaise expérience utilisateur ! Sans compter l’atteinte à l’image de marque, à la perception qu’ont les personnes des biens et services que vous proposez, quand bien même ils peuvent être exceptionnels… Tester en amont peut prévenir 80% des bugs !»

Capitalisant sur ses expériences passées, q-leap -fort de ses certifications telles que ISTQB, Scrum, Prince 2 et IQBBA- se présente aujourd’hui comme un «hub de confiance» pour qui le testing va jouer un rôle différenciateur. «En implémentant les tests, vous vous distinguez de concurrents qui ne fonctionnent que par intuition et ne pensent pas qu’une optimisation de l’UX puisse amener à une augmentation du chiffre d’affaires, assure encore Sylvain Perez. Ne perdez jamais de vue que le coût d’une anomalie est très différent suivant la phase lors de laquelle l’anomalie est introduite et la phase lors de laquelle celle-ci est détectée. Ainsi, si une erreur de conception, détectée dès la phase de spécifications coûte 1 à corriger, la même erreur révélée lors des tests de qualification coûtera 10, et potentiellement jusqu’à 100 si le logiciel est déjà déployé…»

 

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