Un salarié belge sur trois (31%) qui sait que son entreprise restreint l’accès à Facebook enfreint les règles instaurées par son employeur. Des proportions similaires d’utilisateurs ont avoué utiliser les applications d’entreposage de données dans le cloud (24%), des applications de messagerie et de téléphonie (27%), des services de streaming vidéo (23%) et Twitter (22%) au travail.
Restreindre l’accès aux services de messagerie, de réseaux sociaux et de vidéo alimente la désobéissance du personnel, conclut Samsung à l’issue d’une enquête paneuropéenne portant sur 4.500 cols blancs en Europe.
«Interdire les technologies et les sites web au travail a souvent l’effet opposé à celui qui est recherché: la confiance doit être réciproque, analyse le docteur Dimitrios Tsivrikos, Consumer and Business Psychologist à l’University College London. Privilégiez une communication claire et un cadre d’usages pertinnent pour stimuler un comportement constructif, au travail comme en dehors. Vous avez tout intérêt à observer la manière dont leurs salariés travaillent et à identifier les pistes pour rendre ce comportement compatible avec les impératifs professionnels sur le lieu de travail.»
En Europe, les salariés au Royaume-Uni sont les plus enclins à utiliser Facebook malgré le règlement instauré par l’entreprise. Parmi les travailleurs britanniques dont l’accès à Facebook est restreint, deux sur cinq (41%) admettent accéder au site au travail. Les suivants sont les Allemands (34%), suivis par les Espagnols (33%), les Italiens (32%) et les Belges et les Néerlandais (31%). La nation la plus prompte à se conformer aux règlements d’entreprise est la France, où seulement un travailleur sur cinq (20%) accède en toute connaissance de cause aux médias sociaux au mépris des instructions de l’employeur.
Le rapport People-Inspired Security complet et d’autres contenus sont disponibles sur www.samsungatwork.com.