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Vers un modèle « people-first AI »

L’intelligence artificielle, moteur d’opportunités et d’amélioration de l’expérience des employés

Vers un modèle « people-first AI »

L’intelligence artificielle, moteur d’opportunités et d’amélioration de l’expérience des employés

La plupart des salariés font confiance à l’IA pour améliorer leurs performances et leur carrière, alors qu’on parle beaucoup du « déficit de confiance » tant des consommateurs que des salariés. Un modèle « people-first AI » est-il possible ?

69 % des travailleurs estiment que l’IA ne pourra jamais remplacer complètement les travailleurs humains, au mieux elle remplacera les postes subalternes et créera une concurrence plus grossière pour les postes de débutant. A lire le 2024 Global AI Workplace Report de Freshworks, l’IA n’est pas au point où elle peut créer elle-même un produit fini ; la touche humaine est nécessaire à chaque étape du processus.

Équilibrer confiance et opportunités, clé du « people-first AI »

C’est l’une des raisons pour lesquelles, d’ailleurs, les employés se perfectionnent en IA pour rester performants sur le marché du travail et mettre en œuvre des processus sur le lieu de travail pour garantir que tout le travail produit par l’IA est soigneusement examiné.

Significatif : 69 % des travailleurs feraient davantage confiance aux logiciels d’IA sur le lieu de travail si l’examen humain de ses résultats était obligatoire. Ce qui veut dire, encore, être impliqué à chaque étape du processus pour garantir la qualité du travail de l’IA. 51 % des travailleurs ont mis en place des processus qui imposent une certaine forme d’examen humain du travail de l’IA.

L’IT, puis le marketing

Loin d’être perçue comme une menace, l’IA est vue comme un outil permettant de réduire le temps consacré aux tâches répétitives et d’améliorer la productivité et la satisfaction au travail. A commencer dans l’IT. 85 % de ces professionnels l’utilisent chaque semaine ! Le marketing suit : 80 % des membres de ses équipes marketing y ont recours, soit beaucoup plus que tout autre groupe de travailleurs non techniques. Sans surprise, les services juridiques se classent en queue de peloton.

L’étude nous apprend aussi que la confiance envers l’IA s’est accrue, notamment grâce à une meilleure compréhension de ses capacités et à l’amélioration de la qualité des outils d’IA. « Ne vous y trompez pas, l’ère de l’IA tient pleinement sa promesse de libérer les employés pour des tâches de plus haut niveau et de présenter des retours convaincants sur l’IA », assure Prakash Ramamurthy, Products Head, Freshworks. Pour lui, pas de doutes, c’est vraiment « people-first AI »

 

 

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