Génération Y : bien trop de risques en entreprise !
Haro sur la génération Y ! Les 18-34 ans sont considérés comme la génération prenant le plus de risques en entreprise, constate Citrix.
La génération Y (18-34 ans) est considérée comme la génération prenant le plus de risques en entreprise : 58% des répondants d’une étude menée par Citrix les estiment peu soucieux des données sensibles et confidentielles, ce qui les place bien devant la génération X (24%) et des baby-boomers (18%). 37% des personnes interrogées estiment en effet que cette jeune génération est particulièrement dangereuse de par son usage d’applications et appareils non approuvés. Un autre critère marquant est la négligence vis-à-vis des règles de sécurité (24%).
Si les représentants de la génération Y sont les premiers visés, ils ne sont pas les seuls responsables. Le contexte change. La sécurité informatique ne se limite plus à répondre aux attaques entrantes, mais également à se préparer et à disposer de la meilleure stratégie de protection en adoptant une approche pro-active. Avant de s’attaquer aux risques et de déterminer les solutions les plus efficaces, encore faut-il savoir d’où ces risques proviennent. Et là, le constat du Ponemon Institute pour Citrix est dur : seules 4 entreprises sur 10 (41%) estiment que l’efficacité de la sécurité au sein de leur infrastructure est au-dessus de la moyenne.
On peut encore s’interroger quand on apprend que seuls 32% des sondés affirment que la cybersécurité est une priorité stratégique pour la direction de leur entreprise. Ainsi, la négligence par certaines catégories de population et le manque d’information dans la connaissance des règles de sécurité apparaissent être des problèmes majeurs dans ce qui apparaît pourtant être des conditions sine qua non en matière de sécurité en entreprise.
Seuls 38% des sondés affirment que leur entreprise dispose des technologies de sécurité pour protéger efficacement les informations et infrastructures critiques. Ce constat vient nourrir l’hypothèse selon laquelle il existerait un manque de communication de la part des responsables informatiques envers les employés. Moins d’une personne interrogée sur deux (44%) estime que son entreprise a mis en place les politiques et procédures nécessaires pour assurer la protection des informations et autres infrastructures critiques.
