48% des organisations de services financiers de la zone EMEA ont, au cours des deux dernières années, subi des pertes financières allant de 70 000 EUR à 700 000 EUR et ayant pour origine des fraudes en ligne. 9% de ces actes de malveillance ont permis de dérober des sommes supérieures à 700 000 EUR et 3% des sommes supérieures à 1 000 000 EUR.
73% ont cité les atteintes à la réputation comme étant la principale préoccupation liée à ces attaques, alors que 72% craignent la perte de revenus et le fardeau de devoir effectuer des audits de sécurité complets. Parmi les autres impacts négatifs majeurs figurent la perte de la confiance et la fidélité des clients (64%) et les amendes potentielles par les organismes de réglementation (62%).
L’enquête commandée par F5 Networks à travers dix pays de la zone EMEA, dont le Benelux, indique encore que les atteintes à la réputation sont considérées comme le sujet de préoccupation le plus important (73%), suivi par la perte de revenus et le fardeau de devoir effectuer des audits de sécurité complets (72%). Parmi les autres impacts négatifs majeurs figurent la perte de la confiance et la fidélité des clients (64%) et les amendes potentielles par les organismes de réglementation (62%).
La nature des attaques ? Variable, donc large, selon 35% des répondants. En première ligne, les programmes malveillants (75%), ensuite le phishing (53%), le piratage d’identifiants (53%) et le piratage de session (35%).
37% des entreprises disent mettre en oeuvre des solutions hybrides combinant des prestations sur site ou en ligne. 55% des répondants affirment avoir adopté des solutions de prévention contre la fraude multi-couches. Les solutions embarquées sur les terminaux sont les plus populaires (62%), suivie par l’analyse de navigation de page pour identifier les schémas de navigation suspects (59%) et l’analyse des liens de relations entre les utilisateurs, les comptes et les terminaux pour détecter les activités criminelle et/ou les abus (59%). Les solutions fournissant une analyse comportementale de l’utilisateur et de comparaison pour des canaux spécifiques figurent également en bonne place (55%).
Ce contexte explique les raisons pour lesquelles il y a une demande croissante pour des solutions en ligne bénéficiant de capacités de protection contre la fraude sans nécessité d’installer quoi que ce soit sur le poste. Ceux-ci permettent aux organisations d’équiper en temps réel tous les types de postes contre toutes les variétés de menaces en ligne sans que l’utilisateur ait à faire quoi que ce soit, écartant tout danger dans des situations telles que des injections de code HTML ou de script malveillants. Cela inclut les menaces les plus récentes telles comme le malware Dyre, qui dispose d’un large éventail de capacités qui en font l’un des chevaux de Troie bancaires les plus dangereux actuellement. Les fraudeurs continuent d’évoluer et d’exploiter le maillon le plus faible : l’utilisateur final !