Site icon Soluxions Magazine

FedISA Luxembourg, table ronde, Loi sur l’archivage électronique

Kaspersky Lab et Prodata Systems décrochent un contrat-cadre avec l’État belge Gros contrat-cadre de quatre ans pour Kaspersky Endpoint Security Utrecht, le 15 septembre – Kaspersky Lab et l’intégrateur Prodata Systems ont remporté ensemble un marché public auprès de Smals asbl, l’organisation de services ICT commune fondée par des institutions publiques et semi-publiques belges. Il s’agit d’un contrat-cadre de quatre ans pour la fourniture de solutions Kaspersky Endpoint Security. Tous les services publics affiliés à Smals peuvent se procurer les solutions Kaspersky directement auprès de Prodata Systems. Des services publics fédéraux, comme notamment la Police fédérale, le SPF Justice et le SPF Finances, peuvent faire appel à ce contrat-cadre, qui porte potentiellement sur plus de 150.000 licences au total. Les premiers déploiements sont d’ores et déjà une réalité. Les critères techniques et autres pour le choix des solutions Kaspersky Endpoint Security ont été définis en étroite concertation avec la Police fédérale, qui est l’un des principaux acheteurs des licences. Pour les services publics traitant de nombreuses données sensibles, la sécurité revêt évidemment une importante capitale. De plus, la solution devait également cadrer avec le contexte budgétaire actuel. L’achat commun de licence s’inscrit dans un programme de synergie plus large, qui permet aux institutions publiques de réaliser ensemble des économies de coûts en matière d’ICT. Prodata Systems et Kaspersky Lab ont pu fournir des conditions attrayantes grâce à ce type de centrales de marchés. “Nous devons suivre moins de dossiers d’appels d’offres, tandis que la valeur du contrat est plus élevée. Avec ce cadre-cadre, les services publics fédéraux comme la Police fédérale et les membres de Smals sont assurés d’une protection de qualité pour leurs terminaux, et ce à un prix bas. Les solutions Kaspersky Endpoint Security sont flexibles, faciles à gérer et déployables dans des organisations de différentes tailles. Elles proposent par défaut des fonctionnalités pour la protection de toutes sortes d’appareils mobiles, en plus de la possibilité de crypter des applications mobiles”, précise William Verstraeten, sales account manager public sector de Prodata Systems. Dans ce contrat-cadre, Prodata Systems combine les solutions de terminaux Kaspersky avec des logiciels de TrendMicro pour des environnements de datacenters virtuels. L’État belge voulait différents fournisseurs pour la protection de systèmes au niveau des terminaux et des serveurs. Prodata Systems possède l’expérience nécessaire dans la mise en œuvre des deux types de systèmes et peut en outre proposer également des services de consultance, comme la réalisation d’audits de sécurité ou le conseil. L’intégrateur jouit d’une grande expérience en matière de gros projets de sécurité dans le secteur public. Parmi les clients de Prodata Systems, on retrouve notamment des organisations comme l’OTAN et le Conseil européen.

Kaspersky Lab et Prodata Systems décrochent un contrat-cadre avec l’État belge Gros contrat-cadre de quatre ans pour Kaspersky Endpoint Security Utrecht, le 15 septembre – Kaspersky Lab et l’intégrateur Prodata Systems ont remporté ensemble un marché public auprès de Smals asbl, l’organisation de services ICT commune fondée par des institutions publiques et semi-publiques belges. Il s’agit d’un contrat-cadre de quatre ans pour la fourniture de solutions Kaspersky Endpoint Security. Tous les services publics affiliés à Smals peuvent se procurer les solutions Kaspersky directement auprès de Prodata Systems. Des services publics fédéraux, comme notamment la Police fédérale, le SPF Justice et le SPF Finances, peuvent faire appel à ce contrat-cadre, qui porte potentiellement sur plus de 150.000 licences au total. Les premiers déploiements sont d’ores et déjà une réalité. Les critères techniques et autres pour le choix des solutions Kaspersky Endpoint Security ont été définis en étroite concertation avec la Police fédérale, qui est l’un des principaux acheteurs des licences. Pour les services publics traitant de nombreuses données sensibles, la sécurité revêt évidemment une importante capitale. De plus, la solution devait également cadrer avec le contexte budgétaire actuel. L’achat commun de licence s’inscrit dans un programme de synergie plus large, qui permet aux institutions publiques de réaliser ensemble des économies de coûts en matière d’ICT. Prodata Systems et Kaspersky Lab ont pu fournir des conditions attrayantes grâce à ce type de centrales de marchés. “Nous devons suivre moins de dossiers d’appels d’offres, tandis que la valeur du contrat est plus élevée. Avec ce cadre-cadre, les services publics fédéraux comme la Police fédérale et les membres de Smals sont assurés d’une protection de qualité pour leurs terminaux, et ce à un prix bas. Les solutions Kaspersky Endpoint Security sont flexibles, faciles à gérer et déployables dans des organisations de différentes tailles. Elles proposent par défaut des fonctionnalités pour la protection de toutes sortes d’appareils mobiles, en plus de la possibilité de crypter des applications mobiles”, précise William Verstraeten, sales account manager public sector de Prodata Systems. Dans ce contrat-cadre, Prodata Systems combine les solutions de terminaux Kaspersky avec des logiciels de TrendMicro pour des environnements de datacenters virtuels. L’État belge voulait différents fournisseurs pour la protection de systèmes au niveau des terminaux et des serveurs. Prodata Systems possède l’expérience nécessaire dans la mise en œuvre des deux types de systèmes et peut en outre proposer également des services de consultance, comme la réalisation d’audits de sécurité ou le conseil. L’intégrateur jouit d’une grande expérience en matière de gros projets de sécurité dans le secteur public. Parmi les clients de Prodata Systems, on retrouve notamment des organisations comme l’OTAN et le Conseil européen.

La loi sur l’archivage électronique a été votée le 2 juillet, ce qui ouvre la voie aux PSDC (Prestataires de Service de Dématérialisation ou de Conservation). Au cours d’une table ronde, jeudi 17 septembre, FedISA Luxembourg fera le point autour d’experts : Cyril Pierre-Beausse, avocat, cpb.lu;
Alain Wahl, Chef du Département de la confiance numérique, ILNAS;
Jean Racine, Chief Business Development Officer, Labgroup, David Gray, Deputy General Manager, Numen et Serge Raucq (Fujitsu).

Désormais, à travers le nouveau cadre juridique, la dématérialisation et la conservation électronique des documents, en particulier commerciaux et financiers, sont permises sans perdre leur valeur probatoire. En clair, cela signifie que les entreprises luxembourgeoises ont la possibilité de détruire un document papier original sous réserve de l’avoir dématérialisé en respectant des normes strictes tant pour sa numérisation que pour sa conservation. Le Luxembourg devient ainsi l’un des tous premiers pays à adopter une telle législation et ouvre la voie à une grande simplification de la conservation et de la recherche d’archives.

Ce nouveau contexte règlementaire luxembourgeois est éminemment favorable à la dématérialisation en autorisant la numérisation pour archivage dans un SAE (Système d’Archivage Electronique) puis la destruction de la pièce originale et en donnant le cadre précis et rassurant pour tous les acteurs. En effet, pour avoir la même valeur probante que l’original, il faut être en mesure de certifier que toutes les conditions de respect réglementaire afférentes à une copie électronique sont réunies. Les entreprises peuvent faire certifier leurs procédures et moyens mis en œuvre pour la dématérialisation d’archives par les organismes accrédités et, au Luxembourg, une validation par l’Institut Luxembourgeois de la Normalisation, de l’Accréditation, de la Sécurité et qualité des produits et services (ILNAS). Cette certification est accordée sur base des règles techniques instaurées par ILNAS totalement inspirées par des standards internationaux : ISO/IEC 15489:2001 (record management), ISO/IEC 27001:2005 et ISO/IEC 27002:2005 (information security management) et ISO 30301:2011 (operational management).

L’événement aura lieu ce jeudi 17 septembre de 17:30 à 19:00 et sera suivi d’un cocktail. Lieu : BCEE, bâtiment « Rousegaërtchen » au 16, rue Ste-Zithe, Luxembourg (parking disponible sur place).

Cette thématique intéressera tout particulièrement toute entreprise ou organisation qui possède des documents papier ou des données numériques qui souhaiteraient en savoir plus sur cette loi, sur les PSDC et ce qu’ils apportent comme avantages et flexibilité dans les processus documentaires.

Confirmation vivement souhaitée : lucas.colet@lu.pwc.com

 

Sommaire
Titre
FedISA Luxembourg, table ronde, Loi sur l'archivage électronique
Description
Jeudi 17 septembre, FedISA Luxembourg fait le point sur la loi sur l'archivage électronique votée le 2 juillet, qui ouvre la voie aux PSDC
Auteur
Quitter la version mobile