Chaque entreprise devrait pouvoir «faire le bien»
47% des chefs d’entreprise estiment que leur entreprise n’est pas capable d’avoir un impact social majeur -pour «faire le bien». Fujitsu y voit une lacune dommageable.
Pour chaque entreprise, «faire le bien» devrait être central. Or, ce n’est pas le cas. Les chefs d’entreprise se sentent plus responsables vis-à-vis des employés (60%), et des clients (55%), la société au sens large (37%) étant la troisième priorité.
Les dirigeants (1 936 décideurs de niveau-C interrogés par Censuwide pour Fujitsu) ont du mal à répondre aux souhaits des trois groupes les plus importants pour leur succès : les clients, les employés et la société. Par exemple, près des trois quarts (73%) affirment que la créativité du personnel est essentielle à la croissance; 74% affirment que la capacité à avoir un impact sur la société est la plus importante pour la réussite future. Cependant, huit dirigeants sur dix déclarent que pour réussir, il faut toujours placer le client au premier plan.
L’impact social
«Ce n’est que lorsque vos clients sont satisfaits que vous tirez le meilleur parti de vos employés et pouvez avoir un impact positif sur la société. Vous pouvez alors parler de succès à long terme, estime Duncan Tait, SEVP et responsable des Amériques et de la région EMEA de Fujitsu. Étant donné que les organisations peuvent influencer le reste de la société par l’intermédiaire de leurs clients et de leurs employés, les trois groupes sont intimement liés. Les personnes, qu’elles soient des employés ou des clients potentiels, sont attirées par des entreprises ayant une vision sociale claire. Surtout quand elles ont déjà un impact positif sur la société. Cependant, la recherche montre que les entreprises ne sont pas à l’aise avec la manière dont elles abordent les trois groupes individuellement. En raison de la grande influence des employés, des clients et de la société sur le succès de l’entreprise, il est compréhensible que les dirigeants d’entreprise rencontrent des difficultés pour gérer les trois groupes.»
Un thème important parmi les dirigeants interrogés est l’intérêt social. 63% d’entre eux affirment que la société est devenue plus critique à l’égard des entreprises au cours des trois dernières années. En fait, 71% admettent que leur organisation peut contribuer davantage à la vie quotidienne qu’elle ne le fait actuellement. Pourtant, pas moins de 47% pensent que leur entreprise n’est pas capable d’avoir un impact social majeur. La solution à ce problème réside, selon 69%, dans la mise en œuvre de technologies (numériques). Cependant, 73% pensent qu’une culture d’entreprise privilégiant la coopération et la créativité est la condition essentielle d’un impact social positif.
Influencer les trois groupes
«76% des gestionnaires pensent que c’est leur responsabilité que l’organisation ait un impact social positif. De nos jours, le monde des affaires doit impérativement se conformer aux objectifs de développement durable. Chez Fujitsu, ces objectifs jouent un rôle important dans la réalisation de notre vision. Pour atteindre nos objectifs, nous nous concentrons sur la co-création avec nos partenaires. Nous accompagnons notre offre dans les domaines de l’intelligence artificielle, de l’Internet des objets et du cloud dans la réalisation d’objectifs définis, par exemple en mettant en place des processus agro-alimentaires durables, en améliorant les soins aux personnes ou en favorisant la coopération au sein des entreprises. Pour ce faire, nous donnons aux entreprises l’espace nécessaire pour s’adapter et réagir aux changements. Les techniques numériques aident les entreprises à influencer de manière équilibrée les trois groupes – clients, employés et société. Pour chaque entreprise, ‘faire le bien’ doit être central. En tant qu’entreprise, vous ne pourrez réussir que si vous faites une différence positive dans la vie de toutes les personnes.»