BCE a été sélectionné par la FEI (Fédération Equestre Internationale), l’organisme qui régit le sport équestre à l’échelle mondiale, pour l’acquisition, la gestion et la distribution de ses archives.

La FEI est l’organisme qui régit tous les événements internationaux dans les sports olympiques de saut d’obstacles, dressage et concours complets, ainsi que les sports non olympiques de voltige, d’endurance, d’attelage et de Reining. Il régit également tous les concours internationaux de dressage et d’attelage para-équestre.

Avec des milliers d’heures de vidéo des trente dernières années de compétitions, la FEI cherchait un partenaire qui serait en mesure de numériser ce contenu, gérer les actifs existants et faciliter la distribution auprès des intervenants.

«Ce projet répond parfaitement à la stratégie de notre entreprise en assurant la numérisation de leurs archives et en renforçant l’échange de contenu grâce à une plate-forme de gestion de contenu», commente Frédéric Fievez, Projects Development Manager chez BCE.

Pour ce faire, BCE mettra en place une solution de gestion complète dans son nouveau siège à Luxembourg. Cette PaaS (Platform-as-a-Service) sera composée de :

– la plate-forme de numérisation des archives existantes ainsi que du nouveau contenu;

– le système de gestion des médias, comprenant entre autre le MediaArchive Director (EVS), qui gère le contenu, génère des métadonnées, mais aussi des informations sur les utilisateurs et réalise la livraison et le transcodage de fichiers.

La plate-forme de distribution, qui utilise le système tout fichier de BCE : Movie2Me, qui permettra la livraison des fichiers dans le monde entier.

«Avec cette nouvelle solution, la FEI et nos intervenants pourront facilement rechercher du et exploiter des vidéos des compétitions les plus prestigieuses, remontant aux années 70, assure Ralph Straus, Marketing Director chez FEI. Nous sommes très heureux d’être en mesure d’ouvrir et d’utiliser pleinement cette incroyable archive du sport équestre et nous sommes impatients de travailler avec BCE.»