On disait les banquiers et les assureurs réticents… Se basant sur une étude d’Ovum, SAP démontre le contraire.

Le SaaS (Software-as-a-Service), en particulier ne serait plus réservé aux fonctions transversales de l’entreprise, il s’immiscerait aujourd’hui un peu partout. C’est notamment le cas pour 42% des banques et 36% des compagnies d’assurances interrogées. Pour preuve, 42% des décisionnaires IT des banques et 33% des décisionnaires IT des compagnies d’assurance prévoient une augmentation importante des dépenses consacrées au SaaS au cours des 18 prochains mois. 

«Cette étude révèle que le cloud a atteint un nouveau degré de maturité dans le secteur des services financiers, confirme Daniel Mayo, Chief Analyst, Ovum. Le cloud est maintenant un moteur de croissance pour les banques et les assureurs, et non plus uniquement un outil au service de la baisse des coûts».

Les entreprises réalisent donc que le cloud peut non seulement être la source d’une plus grande efficacité, mais également leur permettre de conserver leur avantage compétitif sur le marché.

L’occasion pour SAP de rappeler qu’il peut gérer en mode cloud les opérations spécifiques au secteur financier et faciliter le développement de solutions de paiements de nouvelle génération grâce à des technologies comme SAP Financial Services Network et différents packs intégrés. 

Sommaire
Titre
Banques et assurances... pour le cloud !
Description
On disait les banquiers et les assureurs réticents au cloud. Se basant sur une étude d'Ovum, SAP démontre le contraire
Auteur