Il existe un net clivage entre la façon dont les institutions financières traditionnelles et les fintechs envisagent leurs investissements dans les technologies cloud.
Private cloud, Public cloud, Hybrid cloud, Multi-cloud
Il existe un net clivage entre la façon dont les institutions financières traditionnelles et les fintechs envisagent leurs investissements dans les technologies cloud.
Charges de travail cloud exposées publiquement, extrêmement vulnérables et hautement privilégiées. Ces trois désalignements forment, selon le Tenable Cloud Risk Report 2024, la « toxic cloud triad ».
RISE with SAP, le package phare de cloud et de mise à niveau du géant de l’ERP, chute en termes de ventes totales alors que la date limite de support approche.
Selon la dernière mise à jour du Worldwide Software and Public Cloud Services Spending Guide d’IDC, les dépenses mondiales en services de cloud public devraient doubler d’ici 2028. L’IA y est pour beaucoup.
Stockage en mode objet, données non couvertes par les solutions de sécurité, informations réglementées ou virtualisées difficiles à protéger, le cloud n’est pas une garantie tous risques contre les attaques.
Le cloud profite davantage aux départements IT qu’aux autres métiers de l’entreprise, démontre McKinsey. Cela ne suffit cependant pas à en faire un succès.
Sept entreprises sur dix ne parviennent toujours pas à tenir leur budget cloud, faute de visibilité suffisante. Elles en sont conscientes. Mais adhérer au FinOps n’est qu’une étape.
L’année passée a vu de premiers mouvements de retour en arrière opérés sur les stratégies « move to cloud » des entreprises. Le Cloud Exit de certains laisse à réfléchir.