Kamel Amroune, nouveau CEO de l’agence Farvest
Kamel Amroune succède au fondateur de l’agence, Fabien Amoretti. Enjeu : accentuer la promotion du Luxembourg et ses initiatives au-delà des frontières
Mission : accentuer la promotion du Luxembourg et ses initiatives au-delà des frontières, tout en conservant l’ADN qui a fait le succès de Farvest ces 17 dernières années : information, émulation et networking ciblés.
Kamel Amroune occupe désormais le poste de CEO de Farvest (IT One, ICT Spring, Morpheus Cup, Information Security Days…); il dirigera les opérations du leader luxembourgeois en marketing et évènementiel B2B. Il succède ainsi au fondateur de l’agence Fabien Amoretti, dont la mission se concentrera sur l’accompagnement des sphères non-tech dans un contexte de transformation digitale.
«Ce passage de témoin est pour moi la reconnaissance du travail accompli ces dix dernières années mais aussi la possibilité de mettre en place une nouvelle stratégie pour l’agence et les nombreux écosystèmes sur lesquels nous opérons. La roadmap 2018-2020 combinera un revamping des activités historiques et une accélération de notre développement sur les secteurs à forte croissance : continuer à innover tout en préservant le bel héritage dont nous bénéficions», explique Kamel Amroune. Le nouveau CEO s’est notamment donné pour mission d’accentuer la promotion du Luxembourg et ses initiatives au-delà des frontières, tout en conservant l’ADN qui a fait le succès de Farvest.
«La croissance de Farvest dépend avant tout de l’excellence de son réseau -nous avons plus de 400.000 contacts locaux et internationaux- mais aussi de notre alignement avec les intérêts de nos partenaires publics et privés.»
Farvest vient de réaliser sa meilleure année depuis sa création en juin 2000, avec une croissance et une rentabilité toutes deux supérieures à 15%. «Le timing est parfait», souligne le désormais ex-CEO. Après avoir lancé les activités spatiales de l’agence, Fabien Amoretti devrait dorénavant se concentrer sur les activités de l’agence ciblant le capital humain. Ce secteur subit en effet une mutation accélérée par la pénurie de talents et l’irruption de ruptures technologiques matures, dans un contexte de croissance économique solide.